Témoignages sur les territoires concernés par les accidents de Tchernobyl et Fukushima

Les projets ETHOS et ETHOS 2 mis en œuvre dans le Sud-Ouest de la Biélorussie entre 1996 et 2001 pour cerner les principaux enjeux agricoles dans le contexte biélorusse après l’accident de Tchernobyl.

Le lait est une problématique centrale dans un village comme Olmany, avec une contamination disparate. Comment une dizaine de producteurs se sont portés volontaires pour essayer de tester un petit modèle d’optimisation.

Avec l’aide de la radiamétriste, les producteurs mesurent la contamination de différents produits. Ils travaillent avec les vétérinaires pour mieux comprendre comment les porcs sont contaminés et pour produire une viande de porc de meilleure qualité radiologique pour la consommation par la famille.

Engagé à la suite des projets ETHOS, le programme CORE Agri concerne plus de 500 agriculteurs des territoires biélorusses contaminés par l’accident de Tchernobyl, avec l’objectif d’améliorer la qualité de leur production (notamment leur concentration en radionucléides).

Stratégie mise en place par la Norvège pour accompagner le peuple Sami, en Laponie, dont le mode de vie millénaire a été mis en péril par l’accident de Tchernobyl.

Six mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima, ce film présente les enjeux de la protection des cultures (arbres fruitiers, culture sous serre, champignons, riz, etc.) et de l’alimentation après l’accident nucléaire, une problématique devenue centrale pour le Japon et sa population. Il souligne notamment l’importance des mesures prises collectivement pour mesurer et faire baisser la contamination.

Ce film présente comment les agriculteurs s’organisent depuis l’accident de Fukushima pour mesurer collectivement la radioactivité, réaliser une cartographie de la contamination de leur territoire et expérimenter, avec l’aide d’experts, de nouvelles modalités d’exploitation de leurs terres.

Ce film fait le point sur les conséquences de l'accident de Fukushima Daiichi sur l'environnement. Il traite des rejets radioactifs et de leurs conséquences sur le milieu terrestre au Japon et sur le milieu marin.

Portées par les vents, dès le 12 mars 2011, les particules radioactives rejetées par les réacteurs accidentés de la centrale nucléaire parviennent au-dessus de la ville de Fukushima, située à soixante kilomètres. Six mois plus tard, la radioactivité ambiante atteint dans certains quartiers de la ville plus de 3 microSieverts par heure, près de 25 millisievert par an. Ses 300 000 habitants ne sont pas évacués et doivent apprendre à vivre avec le risque de contamination. Ce film présente l’impact de ce risque et des normes mises en place sur la vie et l’économie de la région, ainsi que les dispositions prises par les acteurs locaux (mesures de la radioactivité et leur interprétation, décontamination, etc.).

Quatre années de dialogue entre des experts en radioprotection et une communauté de résidents de Fukushima pour la réhabilitation des territoires contaminés par l’accident nucléaire. Entre 2011 et 2015, l’initiative de dialogue à Fukushima a permis de développer une culture pratique commune de la radioprotection grâce à une série de 12 séminaires organisés à l’initiative de la Commission internationale de la protection radiologique.

Comment les producteurs et coopératives tentent de restaurer la confiance des consommateurs (voir deuxième chapitre de cette partie du web-documentaire).

Comment surmonter les difficultés, recréer des liens entre les communautés : de l’importance du dialogue entre les différents acteurs.